PATRICK KATENGO ET SES PAIRS ONT MENÉ DES HAUTES RÉFLEXIONS BÉNÉFIQUES À L’ÉCOLOGIE SUR LA PLANÈTE

L’ambassadeur Universel de la Paix et Président du Forum National de la Jeunesse ( FNJ ) en République Démocratique du Congo a activement participé aux grandes réflexions à côté de ses pairs jeunes et encadreurs du Monde entier œuvrant particulièrement dans le secteur écologique. C’était à l’issue de la 76ème session de l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations unies ( ONU ). Parmi ces collègues leaders mondiaux de la jeunesse présents à New York, L’honorable KATENGO MAFO a donner sa voix sur les mécanismes de réduction des gros moyens financiers alloués aux recherches liées à la découverte d’autres planètes.
Pour ces leaders de la jeunesse planétaire, ces colossales sommes doivent être affectées à la planète Terre où l’humanité vit actuellement, où plusieurs habitants vivent dans l’extrême pauvreté. Acception que partage largement l’Ambassadeur Universel de la Paix Patrick KATENGO MAFO.
Depuis les lustres, L’honorable Patrick KATENGO MAFO s’engage à apporter sa voix au profit de la jeunesse et de la survie de l’humanité.
Dans son propre Pays la République Démocratique du Congo, ce tribun de la jeunesse prêche bien par des exemples concrets. On le voit venir habituellement en aide aux personnes vulnérables et à sensibiliser notamment la jeunesse pour la protection de la nature parmi ses chevaux de bataille. Voilà qu’il a souhaité avec ses collègues jeunes leaders mondiaux que les grosses sommes allouées pour la quête des nouvelles planètes de vie soient orientées aux besoins réellement ressentis par les populations.
Aujourd’hui, il existe de ces gens qui ont difficile à accéder à l’eau potable, à s’offrir un repas équilibré, à avoir accès aux soins de santé de qualité.
Certains parents ont difficile à scolariser leurs enfants. Voilà des véritables problèmes qui nécessitent l’implication des décideurs car il s’agit là de besoins urgents pour lesquels l’Ambassadeur Universel de la Paix Patrick KATENGO MAFO ne cesse de mener les plaidoyers.

Par échos du Congo